vendredi 14 août 2009

Still got the blues


Mes enfants bonjour.
Tout guitariste qui se respecte sait reconnaître dès les premières notes le son chaud et velouté d'une Gibson Les Paul. Cette guitare magnifiée par les plus grands agitateurs de manches, tels Santana, Jimmy Page, Slash, Gary Moore et j'en oublie. Et cette délicieuse machine à musique fut l'œuvre de Mr les Paul, qui vient de s'éteindre hier à l'âge respectable de 94 ans. Merci pour tout Les, et va taper le boeuf avec Jimi là haut.

mercredi 12 août 2009

The Shand must go on


Mes enfants bonjour.
Aujourd'hui il fait chaud, on suinte, l'ambiance moite des bars nous enivre d'une musique délicate à base de basse soyeuses et de vocalises soul, et nous propose de "Take a message". Derrière ce titre se cache un artiste du nom de Remy Shand. Alors il aurait pu laisser planer le doute sur ses accointances mais non, le gaillard a trouvé le moyen d'être signé par la Mecque de la soul : le label Motown. Oui, rien que ça. On ne sait pas grand chose de lui, en dehors du fait que c'est un musicien autodidacte surdoué, qu'il adore le funk et la soul. Rien de bien transcendant. D'après mes recherches sur le web, il devait sortir un second album en 2003, mais visiblement il a le syndrome Guns and Roses le petit.
Mais revenons à cet album sorti en 2002, "The way I feel". Pour la petite histoire, j'ai acheté l'album après avoir entendu 2-3 fois "Take a message". Je l'ai écouté une fois, puis remisé dans ma discothèque, n'ayant pas accroché plus que ça aux autres titres. Ce n'est que deux ou trois ans après que, curieux, je l'ai remis sur ma platine, et là la claque. Que des tubes sur cet album, dont le summum est pour moi "Burning Bridges". Une bonne musique, des basses groovy, des sons de synthé vintage, des cocottes. Allez hop un verre d'orangeade, un ventilo au plafond, une vue sur la mer et let the music play on.

vendredi 7 août 2009

L1, L1, ouhou ouhou

Mes enfants bonjours.
On les croyait disparus, étourdis par l'accablante chaleur, bercés par la douce indolence du pastis, de la bière ou de l'orangina. On pensait qu'ils étaient sur le chemin de la rédemption, guidés par une voix christique maintes fois invoquée, celle de la Mère Catho. Puis ils commencent à sortir du bois, affublés de textiles plus criards les uns que les autres.
Oui messieurs dames, ils sont revenus.
Ils sont là, la corde vocale tremblante d'émotion à l'idée de retrouver leur chère et tendre.
Cette passion qui frise le sado-masochisme.
Les supporters sont de retour, le championnat recommence demain. Et le calvaire des compagnes de supporters avec.
Eh oui, c'est la reprise, qu'on va disséquer sous toutes ses coutures.
Avec un Paris que j'espère plus flamboyant que jamais.
Et un Saaaannnddddddddyyyyyy toujours aussi efficace.
Et mon baptême d'abonné.
C'est partiiiiii !