dimanche 30 novembre 2008

La fondue d'Hercule

Mes enfants bonjour.

Oui, vous trépigniez d'impatience, me laissant choir sur le dos le lourd poids de la culpabilité d'aller affuter ma plume sur des blogs plus accortes....

Alors quoi de plus normal pour se réconcilier que de faire un bon repas tous ensemble, mmm ? C'est pourquoi je vous présente Roger Jolifessier, cousin de Paul Bocuse, qui viendra de temps en temps nous donner quelques idées de mitonnage d'ingrédients.


- « Mon cher Roger, welcome here

- Salut Georges !

- Alors qu'allez vous nous préparer aujourd'hui ?

- Une magnifique fondue de poireaux.

- Bien, bien tout un programme donc. Et quel est le protocole de cette recette ?

- Tout d'abord il vous faut un détective.

- ????

- Oui mais pas n'importe lequel, de préférence célèbre, comme celui qui agaça Christine, Hercule. Une fois le mécréant attrapé, vous le déchaussez.

- Une fois pour deux personnes donc ?

- Oui oui, ou pour 4 si vous comptez mettre des patates en accompagnement. Une fois la botte obtenue, vous la débitez en tronçons, on nettoie tout çà et hop, on déshabille tout çà avec du beurre, environ 30 grammes.

- Donc on fout çà « à poêle » pendant combien de temps ?

- Bien 20 minutes, couvert et en remuant régulièrement hein. Une fois que les poireaux sont bien colorés, hop on ajoute sel, poivre, une bonne cuillerée à soupe de moutarde forte ainsi que deux autres de crème fraîche épaisse. Et on laisse mijoter en remuant pendant un petit moment, 10 minutes si le reste du plat est prêt, plus longtemps si comme vous et moi on est un peu à l'arrach' niveau organisation.

- Très bien, et l'accompagnement alors ?

- Tout un éventail d'accompagnement s'ouvre alors à vous. Je citerai simplement le poisson en papillote notamment.

- Des précautions à prendre dans cette recette ?

- Oui, si jamais vous sentez que votre fondue vous échappe, que vous en perdez le contrôle, n'hésitez pas à l'accrocher. Et si les gens ne vous croient pas lorsque vous sortez une pizza du congèl pour réparer ce plat raté, montrez leur la vidéo de votre recette. Car on filme souvent en fondue enchaîné.

- Hem.

- Oui c'est cela, à bientôt Georges

- Et bon appétit bien sûr.


(Oui, je sais, ce blog est foutraque. Et alors ?)

lundi 10 novembre 2008

Laisse les tas de tôles à Venise

Mes enfants bonjour.
Aujourd'hui nous allons parler panda. Non pas de ce mignon petit animal amateur de bambou, mais de sa version mécanique, née de l'imagination fétide de designers désaxés. Oui, vos regards pleins d'effroi me font comprendre que vous avez saisi : il s'agit de la Fiat Panda. Le bloc soviétique avait la Lada, l'occident la Panda. Alors que dire de cet amas de tôle ? Tout d'abord, que c'est une voiture fiable. C'est une fiable panda. Et on peut reconnaître les propriétaires de Panda assez facilement, puisqu'à l'instar de leur véhicule, ils (enfin surtout elles) démarrent au quart de tour. Ensuite d'abord peu commodes, elles s'avèrent relativement serviables, pour peu qu'on sache les manoeuvrer. Ce qui relève de l'exploit, parce qu'elles détestent être assistées, comme la direction de leur bolide chéri....









Cherchez les 7 différences.... C'est à s'y méprendre hein ?

Voilà pour aujourd'hui !!
Ah et pour terminer, je suis très pris par ma nouvelle activité rédactionnelle au sein du Glas, donc je suis moins disponible pour mon blog. Tant que je n'aurai pas trouvé l'équilibre entre les deux, les publications sur le blog seront un peu espacées ;)